Pheonix Academy fait peau neuve pour 2010
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| | | Moment de faiblesse .. ( With Kayan ) |  |
| | | Auteur | Message |
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Clémence K. Nielsen
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| | Sujet: Moment de faiblesse .. ( With Kayan ) Mar 21 Avr - 18:50 | |
| Des larmes. Cela faisait des années que la belle Clémence n'avait pas pleuré. La belle avait décidé de laiser libre cours a ses larmes aux terrain de quidditch. Dans les Tribunes, desertées hors des jours de match. La jeune femme appuie sa tête contre le bois dur des tribunes. Pour savoir pourquoi la rebelle, si dure et si forte des Serpentard est ainsi en larmes, il faut revenir quelques heures plus tôt :
" Le reveil sonna comme d'habitude a huit heures. Clémence se reveille puis accomplit ses rituels quotidiens, peit dejeuner seule, rapide aujourd'huis : une tartine de beurre et un café au lait. Puis la belle entra dans la salle de bain, enfila son uniforme aux couleurs de sa maison, se maquille, cerclant ses yeux de noir. Enfin elle alla en cours. seule comme d'habitude. Cette journée etait plutôt longue rien que le matin elle commençait a 8 heures trente puis dejeunait a 12 heures trente, elle avait Potions, Métamorphose, Soin aux créatues magiques et divination .. Des cours certes interessants mais durs. Les trois premiers cours s'etaient bien passés, a part une heure de colle donnée par Rogue car elle lui avait répondu. Mais tout s'etait gaté a partir de l'intercours, entre les soins aux créatures magique et la divination, Clemence etait en train d'attendre son professeur, é l'écart des autres, eviddement, quand sa soeur, Juliette alla lui parler.
- Clémence ..
- Tiens, depuis quand tu m'adresse la parole ?
- Toujours aussi aimable a ce que je vois .. Oublie pas l'anniversaire de maman.
- T'as fini ?
- C'est tout ce que je voulais te dire, crois moi c'est juste pour maman ..
- Je sais . Je me rend compte que tu m'ardesserais pas la parole autrement
- Tu est perpicace c'est bien. Salut.
- C'est ça.
Juliettes s'eloigna. Sous le regard haineux de sa soeur, qui se rendit a son cours, enervée. Celui ça passa lentement, il sembla durer des heures a la jeune femme qui se fit d'ailleur plusieurs fois rappeller a l'ordre. Durant le repas Clémence monta dans sa chambre et réussit a contacter sa mère grace a la cheminée.
- Huum Maman ?
- Que veut tu Clémence
Un ton aussi dur que la glace. Aussi dur qu'un poignard enfoncé en plein coeur, Clémence, elle avait une voix timide. Ce qui etait plutôt étrange car elle ne l'etait pas, en réalité elle est très d'elle .. sauf avec ses parents .. Devant eux elle est calme et renfermée .. ce qui un paradoxe avec sa personalité rebelle et détonante en général ..
- Je voulais juste te souhaiter un joyeux anniversaire ... maman
- Ok. Aurevoir
Même pas un merci. Rien ..
- Hum Sinon ça va ?
-Ecoute Kendra ( Quand elle l'appellait par son deuxièmeprénom, c'etait mauvais signe ) je vais te parler franchement, evite de nous parler a ton père et a moi. Tu sais bien que .. tu n'est plus de la famille, nous t'hebergerons bien-sur jusqu('a tes dix-sept ans mais ne compte pas sur nous pour autre chose. Tu nous fait honte tu sais .. autant par ton comportement ... que part ton " handicap ". Tu n'as pas ta place dans cette glorieuse famille, Tu nous fai honte .. Regarde toi, tu ne nous ressemble pas .. Pourquoi ne fait tu pas comme Juliette ? On ne veut pas d'un monstre dans cette famille. Ne fait plus d'ffort pour nous. ça n'en vaut pas la peine.
Elle quitta la pièce, rompant ainsi le contact. Laissant Clémence seule et abasourdie. La jeune femme sentit les larmes monter, Elle savait que ses parents préféraient sa soeur mais elle ignorait qu'ils avait autant hnte d'elle, elle ignorait qu'ils ne l'aimait pas .. Sentant une perle salée le long de sa joue, elle sortit en trombe du chateaux, refusant que quelqu'un la voit dans ce moment de faiblesse. C'est ainsi qu'elle se retrouva aux tribunes. "
Clémence etait assise, reqroquevillée sur elle même, depuis des minutes. Des heures . Elle ne le savait pas. Si ça se trouve elle sechait le cours de sortilège en ce moment, elle l'ignorait et ne voulait pas le savoir. Elle pleurait, des marques noires de maquillage coulaient le long de son fin visage d'ordinaire souriant .. le goût salé des larmes, mais surtout le goût amer de la decetion, de la frustation, de la tristesse voila ce que ressentait la jeune rebelle.
* J'doit faire peine a voir *
La jeune femme continua a pleurer .. seule, esperant que personne ne viendrait troubler ce moment de faiblesse .. mais un moment qui, même si elle ne le savais pas faisait du bien .. car on le sait tou, pleurer .. tout lacher .. ça soulage .. Mais ça Clémence l'ignore pour elle, les larmes ne sont que faiblesse, seuls les faibles peuvent pleurer. Pas elle. c'est un des seuls principes que ses parents lui ont appris .. Une seule question subsiste encore dans les pensées mélangées de la belle .. Pourquoi ? | |
| | | | Kayan Lee River
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| | Sujet: Re: Moment de faiblesse .. ( With Kayan ) Mer 29 Avr - 14:49 | |
| [HJ : Pardon du retard, mais j'avais beaucoup de boulot et Hermy me fait travailler x) non non je rejette à peine la faute sur elle - Sorry pour tout le blabla]
Du vent... C'était bon... Rien qu'en fermant les yeux, ce vent pouvait lui insuffler tous les rêves qu'il souhaitait. Pouvait doucement lui chuchoter ce qu'il voulait tout simplement entendre, oui le vent cédait à ses quelques caprices intérieurs et y semait le calme si naturel et ordinaire à Kayan. Journée type, dont il avait secrètement horreur bien qu'il souriait sans cesse timidement et gentiment sans rien dire. Alors encore ce matin-là, il s'était levé, avait poussé doucement un de ses camarades de dortoirs pour le réveiller, s'était lavé, habillé de l'uniforme composé de noir, revêtant fièrement l'écusson serdaigle ainsi que la cravate bleu-blanche qui allait avec, ne se regardant pas une seule fois dans le miroir. Pour y voir quoi ? La machine, comme disait les moldus, à routine qu'il devenait ? Oh mince ! À Salazar ces démonstrations psychologiques : elles n'apportaient strictement rien.
Dans son élan habituel, il décida de dérober au rituel du petit déjeuner, ne s'accoutumant pas vraiment au déjeuner anglais. Non, l'air frais lui convenait parfaitement et la journée, bien que courte pour ce jour, s'annonçait lourde de quelques heures bien ennuyantes : potions, histoire de la magie pour deux heures et une tentative matinale, donc à la première heure, d'astronomie... C'était raté : le ciel était trop clair ce matin-là. Ce qui rendrait sans le moindre soupçon, le cours encore plus embêtant ou à dormir. Donc, dans le but de prendre son unique bouffée d'air de la matinée, Kayan inspirait dehors se laissant porter.
Et ça y était : il était prit dans la machine. Premier cours donc infernal sans compter que le pauvre prof d'Astronomie ne se remettait pas de ce coup de la météo donc ils ne firent que de la théorie, accessoirement aussi durent-ils écouter les plaintes de l'enseignant. Evitons ensuite de faire allusion au cours de Potions : charmant, à ravir même ! Et une petite bête morte à mettre dans le chaudron : allons-y gaiement. Certes que des araignées mais : d'une, Kay a horreur de ça et de deux ce sont tout de même des bêtes. Pour finir, les deux heures avec le très cher Professeur Binns qui ne perdait pas de son charme fantomatique, avait fait l'exploit de réduire au silence toute la salle de cours, encore une fois en fait... Comment faisait-il ? Vous, professeurs, voulez son secret hein ? Avouez ! Et bien je vous le sert sur plateau : par somnifère vocal ! Ou hypnose... Allez savoir mais tous finissaient amorphe sur leur table ou endormit, assis ou avachis, chacun son style. L'asiatique avait opté pour la pause rêveur, regard par la fenêtre mais yeux entrouverts. Quand le premier élève, assez conscient pour en faire ainsi, se leva se rendant alors compte que le cours était fini, Kayan avait cru qu'il pouvait remercier le ciel :
Kayan – « Oh merci Bouddha ! »
Non, non, pas de prochains cours sur les Etudes des Moldus, pas pour maintenant. Mais en Corée du Sud, sorcier ou pas, vous avez le droit de croire en Bouddha. Kayan lui le faisait quand ça l'arrangeait et quand il le voulait. Bref !
Journée qu'il aurait bien aimé oublier pour ne pas avoir encore cette impression de routine le lendemain mais c'était peine perdue. Ah ! Tout lui manquait, son père en tout premier lieu mais non ! Il se refusait à se laisser embarquer dans de tels chagrins... C'était donc pour se changer les idées que monsieur Lee River avait décidé d'entreprendre une douce marche dans les alentours du Parc après avoir tout de même mangé quelque chose. Il n'avait pas prit beaucoup de temps et se l'était jouée solitaire... Quelques pas plus tard, il était déjà dehors sans même quelqu'un pour l'ennuyer avec une agitation trop forte. Pas qu'il n'aimait pas ça, au contraire, mais aujourd'hui, il saturait de pas mal de choses. Regardant autour de lui d'un air enfantin, il se dit que c'était dommage qu'il n'eut pas de crayon et de papier, il aurait bien aimé reproduire ce qu'il avait sous les yeux, trouvant le spectacle digne d'un tableau. Certes un accio et l'affaire serait réglée mais les pas du jeune homme avaient déjà porté celui-ci plus loin.
Sûrement pas à la tranquilité ! Car c'était au terrain de Quidditch qu'il se retrouvait maintenant, les mains dans les poches nonchalamment. Et comme il s'en était douté en arrivant devant le stade, deux-trois de ses camarades y étaient, de l'équipe qui plus est et avaient décidé de faire une petite partie pour s'amuser, le terrain n'étant réservé pour aucune équipe à cette heure. Forcément, ils le supplièrent presque de les rejoindre, le voyant bien innoccupé. Il se jura qu'à la première occasion, il partirait !
Quelques passes plus tard et les premiers signes d'efforts enfin, Kayan se lassait fortement de faire le même jeu. Décidément, cette journée n'était pas si ordinaire pour qu'il soit ainsi ! Il lâcha alors la voix douce, calme et toujours un peu basse mais pourtant tout le monde l'entendait :
Kayan – « Bon, je m'arrête là... j'en ai un peu assez... »
Il avait été franc, comme souvent mais toujours agréable mais un des batteurs fut surprit et voulut protester oubliant de cogner sur le cognard... Celui-ci allant droit sur les gradins.
Kayan – *C'est pas vrai !*
Il n'écouta même pas le début de phrase qu'il déscendit en vitesse avec son balais avant de le quitter, pieds fermes sur un des bancs des gradins. Il n'y avait pas grand monde : encore heureux. Ils avaient joué jusque là dans la partie reculée du terrain, presque allant vers la sortie, aussi cela aurait été surprise de voir un cognard : qui aurait vu les trois garçons ? Cherchant vainement le cognard des yeux, espérant le voir écrasé dans le bois, il apperçut une fille en train de pleurer. Il pensa un instant qu'elle avait peut-être été heurtée : en tout cas elle avait quelque chose donc autant vérifier non ? Il acourra jusque elle.
Kayan – « Hey, ça va ? Tu te sens bien ? »
Il avait posé une main sur l'épaule de celle-ci et se rendant compte qu'elle n'avait aucune blessure apparente, il la retira et se gratta l'arrière de la tête, gêné d'avoir perturbé celle-ci mais embarassé de son état : un peu ampathique oui.
Kayan – « Ce n'est sûrement pas à cause d'un cognard je suppose... Hm... Désolé de t'avoir dérangé, toutefois, si tu te sens mal... »
Il parla très lentement et très doucement comme d'habitude. Pas qu'il avait pour loisir de se mêler de ce qui ne le regardait pas mais c'est tout de même anormal qu'une jeune femme pleure ainsi non ? | |
| | | | Clémence K. Nielsen
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| | Sujet: Re: Moment de faiblesse .. ( With Kayan ) Ven 17 Juil - 19:48 | |
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Une heure, une minute, Clémence 'aurait su dire depuis combien de temps elle etait là, seule, solitaire en un moment de douleur, un moment de faiblesse qu'elle ne s'accordait pas, non jamais. Pour la jeune rebelle des Serpentards pleurer n'etait qu'un signe de faiblesse, le signe que l'on arrive pas a encaisser les coups, le signe que l'on est pas assez fort pour supporter la vie qui ne fait pas de cadeau. Clémence ne pleurait jamais, dumoins elle na'avait pas pleuré depuis des années.
La dernière fois c'etait alors qu'elle avait treize ans. La jeune femme n'oublierais jamais cette nuit, non, jamais. Ce jour là, Kadma, sa mère et Clémence etaient encore en trai de se disputer violement. Pourquoi ? A cause d'une fille nommée Megan, une jeune moldue qui est la meilleure amie de l'adolescente. Megan & elle se connaissent depuis l'école primaire et ne se sont jamais quitté malgré leurs différences. Mais la famille Nielsen n'apprécie pas cette amité, ils juge que cela est stupide et humiliant, qu'une fille de bonne famille comme Clémence ne devrait pas trainer avec une moldue. Enervée, Clémence sortit du manoir de sa famille, décidée a se balader un peu dans le bois environnant, afin de changer ses idée noires. Ce bois .. c'est le lieux que préfère la Serpentarde, après Poudlard, eviddement. Ce bois, lorsque que plus jeune elle faisait des cauchemards, c'est la qu'elle allait se refugier, trouvait le réconfort auprès de la nature. Ce bois etait son sanctuaire. Il etait .. Cette nuit là, la jeune femme marchait dans cette forêt qu'elle connaissait tant, le silence apaisant de la nuit interrompu par quelques cris d'animaux nocturnes, habitués a l'adolescente rebelle. La pleine lune eclarant son chemin au travers des arbres. Pourtant un cri sauvage avait déchiré la nuit. Et la belle eu à peine le temps de se retourner, de voir le loup, immese, dressé sur ses pattes arrière, elle eu a peine le temps de voir son regard sauvage. Elle eu a peine le temps de pousser un cri que le lycan s'etait déja jeté sur elle avec un cri carnassier. Une vive douleur, c'est l'unique chose que Clémence ce rappelle de cette nuit. En effet, lorsque lle ouvrit les yeux, elle etait dan un lit d'hopital, son père etait là, sa mère aussi mais elle semblait s'ennuyer serieusement, le medecin s'etait approché d'elle et prononça des mots que Clémence n'oubliera jamais.
« Vous avez eu beaucoup de chance de vous en sortir mademoiselle Nielsen, Heuresement que votre père est intervenu. Malgré tout, il vous a mordue .. desormais vous êtes un loup-garou .. »
Ces mots, dits sans la moindre délicatesse par le médecin de famille avaient broyé le coeur de la jeune femme, mai pas autant que le regard des ses parents, pas d la pitié, pas de la compassion. Non, un sorte de dégoût, on voyait dans leurs regards de glace toute leur humiliation, toute leur rancune envers la jeune adolescente. La elle avait fondu en larmes. Depuis, plus jamais, le soir, seule dans sa chambre d'hopital, Clémence s'est promis une chose.
" Je couperais les ponts avec tous ceux que j'ai aimé. Je suis dangereuse maintenant. Je ne blesserais jamais personne. Jamais . Et plus jamais je ne pleurerais, plus jamai je ne serais faible .."
Soudain, les pensées de la jeune femmesfurent troublés par un individu. Un jeune homme de Serdaigle qui venait de lui parler .
« Hey, ça va ? Tu te sens bien ? »
Une main se posa sur la fèle épaule de la jeune Serpentard. Elle leva la tête .. son visage angélique marqué de larmes noirs de mascara. Aussitôt il retira sa main puis se gratta l'arrière de la tête . Oh non, elle Clémence Nielsen la rebelle, celle qui n'as pas sa place chez les serpents en larmes ! Quel scoop, demain toute l'école sera au courant . C'etait un ragot interessant.
"Encore un curieux venu profiter du spectacle pour mieux le raconter ensuite ! " pensa la Serpentard
« Ce n'est sûrement pas à cause d'un cognard je suppose... Hm... Désolé de t'avoir dérangé, toutefois, si tu te sens mal...
- Ca va très bien merci, Va raconter la scène a tout bout de champ ! ça en interessera plus d'un. Je vois la scène d'ici : Clémence Nielsen la rebelle des Serpentards craque ! Déja que j'ai mauvaise réputation ! En plus d'être rebelle je suis faible ! Vas-y va colporter ce ragot et fous moi la paix ! »
Aussitôt elle regretta son agressivité. Il voulait juste l'aider . Non mais quelle imbécile !
« Je suis désolée .. Mes mots ont dépassé ma pensée .. »
[HJ : je suis désolée, ça fait longtemps . Non très longtemps . ] | |
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